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Le Blog Côté Moi

28 mars 2013

Et Vous, Comment vous vous êtes Rencontrés ?

 

rencontre-amoureuseCa, c'est le genre d'histoire que j'adore. Comme quoi, il y a un petit coeur de midinette rose bonbon qui sommeille en moi (il est pas très bien planqué faut dire, il suffit de regarder le nombre de comédies romantiques parmi mes DVD !).

 

Je ne peux pas me retrouver dans une soirée avec un couple que je ne connais pas sans être la première à leur poser la question "Et vous, comment vous vous êtes rencontrés ? ".

Bon, des fois je tombe mal, il existe malheureusement des rencontres fort peu attrayantes narrativement parlant. C'est sûr que quand on me répond "à l'enterrement de mon tonton René" ou "elle était la secrétaire de mon proctologue", bah tu t'en mords les doigts quand vient le moment du sourire niais et du commentaire guimauve de circonstance ("Oh, vos mains se sont rencontrées au dessus du livre de condoléances ? C'est mignoooooooon !").

 

Mais sinon, dans l'ensemble, j'adore les histoires de rencontre. Ca doit être cette manifestation du destin dans la vie de tous les jours qui me fascine. Le grain de sel de la chance qui vient se glisser dans la banalité. Chaque rencontre ressemble à un scénario de film : un truc complétement hypothétique qui se goupille à merveille.

 

..... et puis ça me permet de faire usage de cette voix de fausset énamouré, habituellement socialement inacceptable sauf face à un animal ou un enfant de moins de 6 mois (registre vocal comportant bien sûr le célèbre geignement empathique et enthousiaste "Hiiiiiiiiiiiiiiii, c'est trop beau !").

 

Peut-être que mon goût naturel pour les bisounours stories est encore renforcé par la belle rencontre que j'ai faite il y a maintenant un mois. Et que je me ferai un devoir de vous raconter dans les détails (d'ailleurs, à cette occasion, n'hésitez pas à acheter mon affection à coups de commentaires culcul la praline et d'ambiance arc-en-ciel, petits coeurs et zoziaux qui chantent).

Donc, bien sûr je vous raconterai ma rencontre avec le nouveau chéri... dès que je lui aurai trouvé un pseudo.

Oui, tout ça pour ça.

Ne parlons pas de manque d'inspiration si vous voulez bien, disons plutôt que je fais du suspence.

 

P.S : Si vous avez des idées, je suis preneuse !

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26 mars 2013

Appelez moi Forest

Je ne sais pas si la vie est une boîte de chocolats, (j'aurais tendance à penser que non car, si tel était le cas, nous aurions tous le tour de taille d'Américains candidats au diabète) en tout cas, l'ami Forest Gump avait raison sur deux points :

* Courir très vite, dans la vie, ça peut toujours servir (bah oui, comment tu fais sinon le jour où un insecte mutant et radioactif te court après ? Et beh t'es mort. Comme un con. Tous les fans de films d'horreur de seconde zone savent ça).

* On ne sait jamais ce qui nous attend dans la vie (cqfd la boîte de chocolats).

 

Y a trois mois, on ne pouvait pas dire que j'allait super bien...

Euphémisme quand tu nous tiens.

Pour être honnête, j'ai fait une exploration approfondie des abysses; là où les poissons ont des petites loupiotes sur la tête pour y voir. Sauf que moi, j'avais oublié ma lampe de poche alors je suis restée un petit moment à patauger dans le noir en cherchant la sortie. Faut dire qu'un panneau lumineux "EXIT" comme dans les cinemas, ça aurait pas été du luxe. Moi j'dis ça, j'dis rien.

Bref, j'ai galéré, j'ai pas mal chialé, j'ai maigri (enfin un truc chouette), j'ai grossis (et meeeeerde), j'ai déprimé. Dans la confusion du moment je me suis même remise avec le Sicilien (encore !!) qui était revenu en me disant qu'il était désolé et qu'il m'aimait (encore !!!!).

Et puis un jour, il a dû y avoir une vague de fond, un tsunami ou une erruption volcanique sous-marine parce que les abysses m'ont recraché.

 

Je vous propose d'arrêter là la métaphore sous-marine car, ce qui me parraissait être une idée sympa est en train de se transformer en cauchemar stylistique. Ca fait trop longtemps que je me suis barrée de mon blog, je manque de pratique. On dirait un gamin de deux ans qui vient d'apprendre à marche qui essaie de s'attaquer direct au 100m haies.

 

Donc avec des mots normaux et sans mal de tête (abysses, ça s'écrit bien comme ça au moins ?), j'ai arrêter de broyer du noir et j'ai décidé d'arrêter mes conneries. (Une ovation pour la prise de conscience, une!)

J'ai quitté le Sicilien qui ne me rendrait jamais heureuse (oui, je comprend vite mais faut m'expliquer longtemps). J'ai accepté un nouveau boulot de vendeuse en CDI à plein temps. J'ai retrouvé le sourire.

...

Et, comme la vie est une boîte de chocolats, deux semaines après j'ai rencontré un mec super et je viens d'avoir une offre d'emploi défiant toute concurrence. Du coup, mon sourire et moi, on démissionne pour gagner plus en travaillant moins.

 

Comme quoi oui, la roue tourne. Mais si j'avais appelé mon article comme ça, ça aurait fait un peu trop "Le Juste Prix".

 

Un petit coucou à mon pote Jacky, compagnon d'infortune dont le physique gagne à vivre dans le noir.

27 novembre 2012

Chroniques d'un Sourire qui S'est Fait la Malle

Ouais, je sais, je reviens avec un titre qui envoie du lourd dans la gamme joie, ciel bleu et petits zoziaux qui chantent.

Parce que là, rien qu'au titre, toi lectrice, tu sens bien que tous les malheurs contenus dans ma misérable existence depuis quelques mois vont te déferler sur le coin de la tronche pire que le tsunami sur les gentils asiatiques. Et t'auras pas tort.

Même que, je serais toi, je cliquerais illico sur la petite croix dans le carré rouge, là-haut sur la droite de ton écran. Et même que si tu faisais ça, tu l'aurais échappé belle.

 

Bon, égoïstement, j'espère quand même que vous resterez là pour me lire. Même si ça faisait tellement longtemps que je ne m'étais pas connectée que je ne me souvenais plus de mon mot de passe pour accéder à mon interface Canalblog. Et comme je n'ai pas l'Alzeihmer, je peux en déduire que je vous ai laissé tomber depuis un bon bout de temps.

Et j'en suis désolée.

Ce que je vous propose pour ce soir, c'est de laisser tomber pour la suite de l'article ma verve de "fille cynique mais comique ayant fait le plein d'autodérision". Je vous ferais marrer la prochaine fois, si vous voulez bien. Et je vais m'employer à combler les trous de ces derniers mois. Histoire que vous sachiez un peu où j'en suis avant que je recommence à vous raconter mon petit quotidien (et avant de recommencer à penser que vous allez trouver ça passionnant. Pitié, aimez-moi.).

 

Bon, je me lance. Désolée par avance pour le côté platement chronologique des choses mais je ne me sens pas capable d'autre chose pour ce soir.

 

J'ai arrêté d'écrire cet été, quand les choses sentaient le roussi avec le Sicilien. Trop de mensonges, trop de trahisons, trop d'incohérences... et pas assez d'attentions, ni de compréhension. Du même temps, je n'en ai pas parlé des masses ici mais ma grand-mère est tombée malade. Je passais beaucoup de temps avec elle à l'hôpital depuis début juin et ça a sérieusement entamé mon moral. Regarder une personne qu'on aime se faire bouffer par un cancer 3 jours par semaine, la faire manger à la petite cuillère et dormir a côté d'elle certaines nuits, ça vous change. Et ça a tendance à faire ressortir la dépressive qui sommeille en vous. Ca non plus, le Sicilien n'appréciait pas.

Mi-septembre, avec le Sicilien, on s'est séparés. Je vous avouerais que ça m'a fait ni chaud ni froid : j'étais en colère contre lui et puis je devais m'occuper de ma grand-mère. Bien sûr il me manquait mais je prenais la chose relativement bien.

Quinze jours plus tard, il est revenu. On a fait le plein de résolutions, tous les deux. On était heureux de se retrouver, tous les deux. On s'était manqué, tous les deux. On a décidé de repartir sur de nouvelles bases, tous les deux.

 

Là je fais une petite aparté, pour admettre que oui, ça pouvait sembler être une mauvaise idée. D'ailleurs, ce truc de repartir sur de nouvelles bases, après tous ces coups pourris de sa part, ça semble juste infaisable. Ouais. Sauf pour moi. Pour mon malheur, je suis une des seules filles que je connaisse totalement capable de repartir sur de nouvelles bases. Capable d'effacer d'un trait toutes les déceptions passées et de décider que toutes ces choses ne comptaient plus. Et de me relancer entièrement dans la relation comme si elle était toute neuve.

 

On est reparti de zéro, donc. C'était la dernière semaine de septembre et, en plus, j'avais trouvé un boulot pour octobre. Fini d'être la chômeuse, fini de ne pas vivre selon le même mode de vie. Et ça a super bien marché, on était heureux comme pas possible.

Le 7 octobre, ma grand-mère est décédée. Je ne m'étendrai pas sur le sujet, ça fait mal et je n'ai pas envie d'y repenser. Avec tous ces chamboulements dans ma vie privée et professionnelle, les dernières semaines, je n'avais pas pu aller la voir aussi souvent qu'avant. Pendant la séparation parce que je ne voulais pas qu'elle me voit triste et s'inquiète. Ensuite parce que son hôpital était à 1h30 de route et qu'avec le boulot, c'était compliqué. Elle est partie le matin du jour où je devais passer l'après-midi avec elle.

Le Sicilien a été extraordinaire. Il a été là pour moi, m'a soutenue autant à l'enterrement qu'à la maison. Le jour des obsèques, il a même dit à mon grand-père de tenir le coup parce que dans 2 ans, il viendrait à notre mariage. Il comptait me demander de l'épouser pour mes 28 ans, cet été.

Dans ma tristesse, j'étais heureuse qu'il soit là pour moi. De pouvoir enfin compter sur lui. Qu'il ai eu un déclic pendant notre séparation et qu'il ai décidé de s'engager, de construire son avenir avec moi. Je me disais que ma mamie devait nous voir de là-haut et être rassurée pour moi.

Tout allait bien. Bon, fin octobre, il a commencé à être un peu renfermé mais me disait qu'il avait des soucis au travail. Plausible. Surtout qu'à côté de ça, il ne se mettait pas en colère comme avant et ne me refusait plus sa confiance. On parlait gamins d'ici 3 ans, crédit immobilier. Le vrai petit couple heureux.

Le 7 novembre, un mois après le décès de ma mamie, on est allé se promener en forêt. Et là, il m'a annoncé qu'il me quittait. Parce que pendant les 15 jours de séparation, il y avait eu une autre fille. Parce qu'il n'avait pas envie de s'engager. Parce qu'il n'avait plus envie de devoir être fidèle.

Je suis tombée de très très haut. Toutes ces promesses, tous ces projets ne venaient jamais de moi mais de lui. J'essayais même de le freiner des fois (comme pour l'éventuel achat commun de maison l'année prochaine). Il m'avait juste menti. Depuis 2 mois, depuis 2 ans.

3 jours plus tard, il est venu déménager ses affaires. Ses meubles, ses fringues, ses dvd. Je me suis retrouvée dans un appart à moitié vide. Et j'ai dû le re-remplir. J'ai refait la déco, j'ai rangé toutes mes affaires en m'étalant le plus possible. Sinon je n'y arrivais pas.

 

Et maintenant, ça fait 3 semaines. Je me sens seule : il me manque, ma grand-mère me manque.

Alors, le soir je me couche toute seule et je me répète comme un mantra "il ne faut pas pleurer pour un menteur". Et j'évite de penser à ma mamie.

A part ça, ça va.

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28 août 2012

Make Up Rio

Rio, pour certains ça fait penser à la grande statue du Christ. Pour d'autres, c'est la capitale de la chirurgie esthétique.

Pour moi, Rio, c'est le carnaval : les danseurs de samba dans les rues, les filles avec des strings en strass (aïe aïe aïe) et des p'tits culs parfaits, la musique péchue et le débordement de couleurs. Le carnaval, c'est vulgaire, c'est populaire, c'est drôle, c'est animé, c'est sexy et c'est too much.

Et comme moi-même, parfois, j'ai des accès de vulgarité bon enfant, j'ai décidé de canaliser ça dans un make up. Le Make Up Rio, donc (uniquement réalisé grâce aux pigments Shiro)

 

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27 août 2012

Brown Bar Benefit : Un Deux, Un Deux, Test, Test

Durant l'une de mes longues absences estivales (façon élégante et métaphorique de dire que, cet été, le blog a tourné au ralenti et que j'ai eu envie d'écrire comme de boire un thé brûlant sur la plage à 14h), j'ai fêté mes 27 ans. C'était le 6 juillet dernier et ne vous inquiétez pas d'avoir loupé la chose; malheureusement, ce jour n'a pas encore été déclaré jour férié et des feux d'artifices ne sont pas encore tirés en mon honneur à travers tout le pays. J'me demande bien pourquoi d'ailleurs. D'autant plus que j'adore les feux d'artifices.

Bref, à l'occasion de ce jour mémorable de la naissance de moi-même, l'ami Sepho m'a envoyé un cadal (un cadal, des cadeaux). Et même que le cadal en question était un bon pour épilation offerte au Brown Bar Benefit. Vu comment j'avais envie de le tester depuis longtemps, ça m'a mis toute jouasse et je me suis dis que l'aventure mériterait bien quelques photos et un petit article. (Ouais, quand je me fais épiler les sourcils, j'appelle ça une "aventure", vous imaginez le niveau d'emmerdement du reste de ma vie).

 

Avant de commencer, j'vais vous parler sourcils. Des miens bien sûr (sauf si vous insistez pour une rétrospective de la symbolique du sourcil a travers les âges... Non ? Sûres ?).

 

Mes sourcils, je les ai découvert vers 13 ans. Faut croire qu'un jour, entre deux boutons d'acné, j'ai vu un truc poilu et que je me suis brusquement demandé ce que c'était. J'avoue que je n'ai pas de souvenir du sourcil pré-épilatoire puisque, ce jour-là, je me suis empressée de me saisir d'une pince à épiler et de ratiboiser le pauvre sourcil innocent. C'est comme ça qu'armée d'une pince à épiler, d'une copine gloussante et des pages beauté de Ok Podium, j'ai transformé mon visage selon la technique bien connu du "du sourcil arqué aussi fin qu'un trait de crayon".

Manque de bol, la technique en question m'a duré longtemps. Et j'ai ainsi passé une grande partie de ma vie avec un regard de clown triste et des sourcils trop fins et trop hauts qui me faisaient paraîtrent perpétuellement étonnée. Ca fait beaucoup de mots pour dire que c'était moche et que j'avais l'air con. Pis ça me faisait des grosses joues. J'vous laisse imaginer le jour où, en plus, je me suis faite opérée des dents de sagesses...

 

Vers 20 ans, j'ai fini par me rendre de la mochitude de la chose. Oui mais voilà, c'était trop tard. Le sourcil opprimé avait décidé de se venger : j'avais beau essayer de laisser repousser, j'avais des gros trous de pilosité. Du coup, j'étais obligée de me maquiller les sourcils tous les matins... Avec un résultat mitigé qui donnait l'impression que j'avais des décalcomanis collés sur la gueule... Faut dire que, suite à ma teinture brune, je trouvais parfois plus simple de tracer mes sourcils à l'eye liner... Ouais, je sais. J'vous jure que, chez moi, le bon goût c'était pas de naissance (et quand je vous posterai le prochain make up, ça se confirmera).

 

A 22 ans, j'ai rencontré à la salle de sport une gentille esthéticienne qui, émue par mon embarras (bah oui, quand tu fais du sport, tu transpires. Quand tu transpires, tu t'essuis le front. Et tu te retrouves avec un sourcil en moins et du crayon partout) et appâtée par le gain, me proposa de me tatouer les sourcils.

 

300 € plus tard, j'avais deux sourcils tous beaux et j'étais la plus heureuse.


Oui mais... 5 ans plus tard, le tatouage commence à se faire la malle et le sourcil ne correspond pas tout à fait à ce que je voudrais. Pas assez présent, pas assez épais, pas assez foncé... pas assez contente, moi.

D'où tout l'intêret pour moi de tester le Brown Bar : j'me suis dis que j'allais laisser une vraie professionnelle décider du sort de ma pilosité faciale vu mon incapacité personnelle à faire face à ces quelques poils sur mes arcades.

 

Donc, j'ai appelé pour prendre rdv. Et, volontairement, je l'ai pris 3 semaines plus tard afin de bien laisser pousser les sourcils et que la gentille dame du Brown Bar ai de la matière pour changer la forme.

 

Honnêtement, 3 semaines, j'ai vécu l'enfer. L'enfer sourciliaire. Ca a poussé dans tous les sens, c'était impossible à cacher et le Sicilien ne faisait que de se foutre de ma gueule... J'ai dû le menacer d'une épilation nocturne surprise pour pouvoir être tranquille. Avec mes deux sourcils immondes qu'on aurait dit des chenilles posées au-dessus de mes yeux. Des chenilles grasses et duveteuses, celles qui filent de l'urticaire, vous voyez ? Con, c'était long.

 

Le jour du rdv, j'y suis allée pleine d'entrain : honnêtement, elle pouvait bien me faire ce qu'elle voulait mais tant qu'il y aurait moins de poils qu'à l'arrivée... Je serais satsifaite.

 

Comment ça se passe ?

La gentille dame m'a faite asseoir dans le coin Brown Bar et elle m'a expliqué les différentes prestations proposées et comment elle allait déterminer la forme de mon sourcil. Puis c'est allé tout vite : hop hop, étalage de cire. Hop hop arrachage de poils. Hop hop, étalage de cire. Hop hop arrachage de poils. Hop hop, étalage de cire. Hop hop arrachage de poils. Finition à la pince pour les poils récalcitrants (à moooooort !) Après, elle te maquille les sourcils avec le Brown Kit (que j'aime d'amour) et elle te fait voir comment t'es belle. Pendant la prestation, on a papoté de Benefit, de mes produits préférés, de comment j'avais découvert la marque, ettouça. J'ai repris rdv 5 semaines plus tard pour l'entretien.

 

Mon avis (éclairé ?)

J'ai trouvé que c'était rapide, heure du rdv bien respectée et que la demoiselle était très pro. Par contre, je ne suis pas fan des gens qui te regarde comme une bête curieuse pendant que t'as la figure toute pleine de cire. A 21 € l'épilation, je trouve ça relativement cher mais c'est vrai qu'on ressort nickel avec des sourcils parfaits. D'un autre côté, je n'ai jamais testé l'épilation sourcil ailleurs alors je ne sais pas si la qualité du travail au Brown Bar justifie l'écart de prix. Petite précision quand même : normalement l'épilation est accompagnée d'une mise en beauté des yeux ou du teint mais comme j'étais déjà maquillée et un peu pressée, je n'en ai pas profité cette fois.

 

Et comme une photo vaut mille mots... L'avant / après

AVANT

Sourcils moches et pleins de poils avec tatouage qui s'efface et vire au roux
(oui oui les deux en même temps, la classe à Dallas).

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APRES

Sourcils made in Brown Bar. Je passe mon temps à les mater dans le miroir de la voiture,
les vitrines et la porte du micro-onde.

 

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24 août 2012

Make Up Robe d'Ete

Non non, je ne me suis pas lancée dans un make up artistique avec imitation de dentelles, bretelles dessinées à l'eye liner et motifs floraux autour de mes n'oeils.

Je me suis juste contentée de faire un make up assorti à mes fringues. Une robe d'été donc. Et, en plus, on est encore en été. Pffff quel à-propos, j'vous jure.

Et quel manque de motivation pour trouver un titre. Après une perle pareille, vous n'êtes pas à l'abri d'un "Make Up Jean" ou "Make Up Sandales Compensées". J'ai honte.

Plus intéressant, j'en ai profité pour dégainer 2 des pigments Shiro Cosmétics que j'ai reçu il y a deux semaines. D'ailleurs, je tenais à vous informer que le pigment, c'est la vie. Tout simplement. Sans aucune exagération (bien sûr).

Le pigment Shiro, c'est de la beauté en sachet, de l'inspiration vendue au poids. Ca ne file pas, ça ne pâlit pas, ça s'estompe comme rien et ça me permet de me la péter "Reine du Pinceau". En vrai, c'est le pigment qui fait tout le boulot.

Bon ok, ça chute grave sous les yeux quand t'en mets mais comme je fais toujours mon teint en dernier... bah j'men fous pas mal. Et même s'il en reste un peu dessous, ça donne un effet pluie de pailletes discrètes. Ou alors, ça me donne juste l'air négligé de la fille trop feignasse pour soigner les détails... Mais être une feignasse avec des yeux qui claquent, je le vis bien.

 

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Bon, et pour justifier le titre pourri, voilà la photo de la fringue sus-mentionnée (la robe d'été, oui oui, vous avez suivi) :

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Vous remarquerez que, dans un magnifique mouvement d'abnégation, je vous gratifie en même temps de mes nichons et de mon soutien-gorge. Faut dire que, sans soutif, y aurait eu un peu trop de nichons sur la photo. Vu la profondeur du décolleté, vous comprenez l'importance du maquillage des yeux !

23 août 2012

J'Adore la Fin des Vacances

Traitez moi de maso, ne vous genez pas (oh oui, insultez moi j'adore ça ! .... Non, je blague, ne vous emballez pas !), mais je kiffe la fin des vacances.

Quand je rentre chez moi toute bronzée (et cette année, je suis outrageusement bronzée...) et que je peux trimballer ma peu dorée au nez de ceux qui ont encore un teint d'endive (oh eh ça va, c'est pas sympa mais tout le monde aime ça hein !).

Quand je transfère les photos de vacances dans l'ordi et que je peux déjà me rappeler plein de bons souvenirs.

Quand les derniers jours d'aout sont toujours aussi chauds (surtout que je vis dans le sud moi, 3 mois qu'on a pas vu une goutte de pluie !) mais que je me surprends à rêver de veste en cuir et de bonnets.

Quand les fournitures scolaires envahissent les supermarchés et me donnent envie de retourner à l'école (par contre, les hordes d'enfants bruyants dans les allées et les troupeux de mères au bord de la crise de nerf ne me donnent pas envie de pondre à mon tour. Pour le dilemme "grand cahier à petits carreaux" ou "petit cahier à grand carreaux", j'vais attendre encore un peu hein).

 

Bref, j'aime la rentrée. Depuis toujours. Au cas ou vous vous demanderiez, je plaide coupable : je faisais bien partie de ces élèves brillants et binoclards qui posent toujours leur cul au premier rang et raflent toutes les bonnes notes. Faut dire que j'étais moche comme un pou à l'époque (parce que j'suis comme le vin, avec le temps, j'suis devenue beaucoup plus buvable) donc je n'avais pas des masses d'options de survie scolaire. Quand t'es moche faut éviter d'être conne par dessus : trop de tares, c'est pas vivable. Du coup forcément j'aimais l'école, j'aimais apprendre et la rentrée, c'était mon kiff. Gamine bizarre.

 

rentrée adore

 

Et puis, surtout, j'ai toujours considéré que l'année commence en septembre. Faut dire que Madame Mère était prof et donc, la rentrée, c'était vraiment le branle-bas de combat dans la casa. A force d'entendre que l'année commence en septembre et qu'elle finit en juin, j'ai jamais réussi à me mettre dans la caboche que, pour les autres, l'année commence le 1er janvier. D'ailleurs, cette date-là, quand tu raisonnes comme moi, le 31 décembre tombe en plein milieu de l'année. C'est tout pourri. Du coup, j'ai jamais pris de résolutions le 1er janvier. Bah non, puisque ça ne marque ni le début ni la fin de quoique ce soit.

Pfffffff je voulais m'expliquer mais, en fait, j'ai l'air sacrément décalée.

 

Bah tout ça pour dire que, depuis que je suis rentrée de vacances, j'ai rangé mes valises le sourire aux lèvres, que j'ai tout bien rangé la maison et que j'ai fait la listes de MES BONNES RESOLUTIONS DE RENTREE (oui oui, en majuscules. Ca mérite).

 

Et j'ai vu grand : je vais arrêter de fumer. Ouais. J'avais déjà essayé une fois, j'avais tenu un et demi avant de reprendre et là, j'ai envie de réessayer. Challenge challenge. (au secours, j'suis morte de trouille !!!)

Bon après, les trucs habituels :

- je vais me remettre au sport (pour m'aider à arrêter de fumer)

- je vais faire gaffe à manger correctement (pour ne pas grossir en arrêtant de fumer)

- je vais être assidue sur mon projet d'entreprise (pour être fière de moi... et ne pas avoir envie de fumer !)

- je vais tenir mon blog plus régulièrement (juste parce que j'ai envie... et vous gonfler en vous racontant comment j'arrête de fumer !)

 

Et ne vous avisez pas de me dire que je ne vais pas réussir à tenir toutes les résolutions parce que... il y en a encore plein que je garde pour moi ! Et vous, vous résolutionnez à la rentrée ?

 

 

3 août 2012

Google est Ton Ami - 3

Tadaaaaam, retour de la rubrique-qui-me-fait-rire ! D'ailleurs, je crois bien que c'est la seule rubrique régulière que j'arrive à tenir. J'avais essayé de faire les défis du lundi... j'ai abandonné. J'avais essayé de parler de mes petits bonheurs de la semaine... j'ai tenu 4 semaines (à croire que j'suis jamais heureuse hein).

Mais le Google est Ton Ami, j'sais pas pourquoi je tiens. Peut être parce que ce n'est pas moi qui dois trouver le contenu mais les tarés du Web qui me le fournissent. Ouais, ça aide. J'ai pas à réfléchir, j'ai juste à me moquer et, pour faire ça, j'ai même pas besoin de connecter le circuit neuronal. Langue de pute je suis. Langue de pute j'écris.

 

google-classic


- joue toi de la vie ou la vie se joue de toi (futur actionnaire de la Française des Jeux ?)

- un dos très sexy (ouais, je trouve aussi que le dos a un fort potentiel érotique. Dû probablement au fait qu'il débouche sur le cul. C'est moins glam' d'un coup)

- comparaison des personnes anormalement grosse et mince (comparativement ça n'a pas grand intêret : t'en a une grosse et une mince. Genre séparées par beaucoup de kilos. Genre la grosse n'a pas d'os qui pointent et la mince pas de bourrelets. Sans surprise donc)

- une chomeuse qui couche dans sa voiture film (con, tu sens le film joyeux là ! Ca donne envie, ça te promet une bonne tranche de rigolade entre potes devant le lecteur dvd ! Ou alors, tu fais une recherche sur les films à budget limité.)

- code opération des postes (j'hésite entre qualifier cet internaute de schizophrène ou de cambrioleur... A moins que mon blog soit surveillé par la CIA !)

- sucer un mec alors qu'on est pas en couple (ça s'appelle être une salope ma toute belle. Eeeet oui. Mais c'est pas interdit hein ! Et puis vois le bon côté des choses : tu dois avoir tout plein de mecs qui ont envie d'être tes potes !)

- l'amitie c'est quand on fait un mais qu'on reste deux image avec chats (c'est tout meugnon ! Quoique, j'espère que tu as moins de douze ans. Sinon c'est pas mignon, c'est un peu effrayant !)

- elle me raccroche au nez (et toi tu tapes sur Google... Z'êtes un couple adepte à la technologie non ?)

- j'ai oublié que je ne porte pas de culotte (t'inquiètes pas, si y avait eu un coup de vent sous ta jupe, tu t'en serais souvenue !)

- pendant 15 min tap ok si tu es envi ^^ (15 min !!!! Mais c'est super long ! Et d'ailleurs, pourquoi tu tapes ça dans google petit internaute ? Tu devrais être en train de taper ok, si tu es en vie !)

- un court metrage d'un dessin animé coréen sur une larve et une abeille (toi, tu ne dois pas avoir des masses d'amis... Ca tient peut-être à tes goûts trop sélectifs. Ne m'invite jamais à aller au ciné. Ok, on ne se connaît pas mais je préfère prévenir)

- j'ai eu. (suspeeeeeence ! Si tu repasses par là, mets nous la fin hein !)

- met du vernis à ongles de pied (ok, je vais t'aider. Tu prends du vernis, tu vises tes ongles de pieds, tu étales et tu attends que ça sèche. C'était ma BA du jour, j'me kiffe)

- la vie c'est plus comme un bocal de piment qu'une boîte de chocolat. ce que tu fais aujourd'hui (attention : référence cinématographique, pensée philosophique et question existencielle. 3 en 1 !)

- PRONO CUL (faut pas s'énerver comme ça hein ! T'es pas chez des sauvages ici ! C'est pas notre faute à nous si Popol n'a rien eu à se mettre sous la dent depuis trop longtemps ! Politesse et respect, merde !)

 

Et attention... Mes Préférés pour cette Session ! Y a du lourd, y a du beau, y a de l'inattendu ! Pas de commentaires, ils se suffisent à eux même :-)

 

- la vie est une pute avec un god ceinture

- godemichet à tête d'écureuil

- l'odeur d'after shave et de tabac de mon mari décédé depuis 20 ans

30 juillet 2012

Comme des Etrangers

amour peur

A la base, y a la déception. Ouais, tout ça pour ça, j'fais pas dans l'originalité. Une déception faite d'inscriptions sur des sites de rencontre (encore), de dragouille avec une collègue (encore), de week-end entre potes dissimulés en week-end en famille (inédit celle là), de consultation d'annonces d'escort girls (une autre nouveauté). Une déception de mensonges et d'égoîsme, quand tu regardes la personne que tu aimes et que t'as l'impression de ne pas la connaître.

Ca me mets comme une écharde dans le coeur et des doutes plein la tête.

Je ne sais plus où j'en suis, je suis perdue, j'ai peur de tout : d'être avec lui ou d'être seule, de pardonner ou d'être en colère.

Pourquoi est-ce que, parfois, on est obligé de se demander si l'on ne va pas quitter quelqu'un alors qu'on l'aime encore ? Y a personne qui voit l'ironie crasse de la chose ?

Alors on se dit qu'on va arranger les choses, qu'on va surmonter. Mais, le soir, on redoute de rentrer à la maison, on se parle comme des invités, on fait des phrases avec trop de "merci" et de "s'il te plaît". On fait l'amour poliment et on s'emmerde. On ne fait pas l'amour et on s'en veut. On fait comme si tout était normal et on évite de parler. La complicitée est devenue un champ de mines, la moindre plaisanterie mal interprétée.

On a peur d'être ensemble, peur de ne pas y arriver, peur de se séparer, peur de regretter.

En ce moment, je suis son étrangère et il est mon étranger.

 

26 juillet 2012

Bijoux Miam Miam

Je suis une vilaine fille. Sisi. Dis comme ça, ça fait un peu disciple de maîtresse sado-masochiste. Mais je ne suis sessouellement vilaine (quoique...); non, je suis bloggesquement vilaine. Parce qu'il y a un article que je devais faire depuis un moment déjà. Un article que j'avais promis de faire. Et je n'ai pas tenu ma parole. Pas bien Chelsea ! Vilaine - méchante - pas belle ! (non, pas pas belle !)

Il y a un bon moment déjà, j'ai gagné un concours chez notre Mojita de l'Internet mondial. Ouais, j'ai joué, j'ai gagné et même que c'était la première fois (la seule aussi pour le moment).

Du coup, j'ai fait la danse de la joie dans mon salon, entre la table basse et le canap. D'ailleurs, il ne vaut mieux pas que je gagne trop souvent parce que, vu la largeur opulente de la pièce, je me suis bousillée la hanche contre le meuble TV et niqué l'orteil au coin de la commode. La victoire a un côté dangereux. Surtout dans une petite pièce. Ou alors, il faut gagner calmement (mais ça, j'sais pô faire).

Bref, mes hématomes on s'en fout, ce qui vous intéresse (ou pas d'ailleurs mais comme on est chez moi, c'est moi qui décide lectrices adorées) c'est ce que j'ai gagné : un bon d'achat sur le chouette site "Les Créations d'Emilie".

création emilie - bijoux gourmands

Emilie, c'est une gentille créatrice de bijoux. Même qu'elle est très douée et que ses bijoux sont à croquer. Au sens propre du terme... Car les bijoux d'Emilie sont des bijoux gourmands en résine polymère : macarons, glaces, fioles de bonbons. Chez Emilie, les bijoux sont frais et acidulés, poétiques et originaux. 

J'en ai choisi deux :

bouclesdoreille_cerises_lescreationsdemilie  les boucles d'oreilles "Cerises"

collier_trio_de_glaces_lescreationsdemilie le collier "Trio de glaces"

 

L'envoi est très soigné : les bijoux sont arrivés joliment empaquetés et en parfait état. Au niveau de la qualité du produit lui-même, rien à déplorer. La finition est soignée, le métal utilisé (pour les fermoirs et la chaîne) ne m'a pas provoqué d'allergies et n'a déteint sur ma peau.

Et, surtout, les bijoux sont solides : pas de casse alors que je les porte quasi tous les jours. Et c'est une chose à laquelle je fais très attention car les bijoux fantaisis ont une fâcheuse tendance à être trop fragiles. Ou alors, j'ai une fâcheuse tendance à ne pas être assez soigneuse. En tout cas, les gourmandises d'Emilie tiennent le coup  sans avoir besoin de les traiter comme du cristal (évitez quand même de sauter à pieds joints dessus; j'dis ça, j'dis rien hein).

Et ces bijoux font vraiment leur petit effet ! Je ne compte plus le nombre de compliments que j'en ai eu depuis que je les porte (on ne se demande plus pourquoi je les mets tous les jours hein. Moi, j'aime les compliments. Ca me donne l'oeil vif et le poil brillant).

Voilà, le mal est réparé : article promis, article fait ! Et puis, c'est un plaisir de vous encourager à aller jeter un oeil chez Les Créations d'Emilie. Et n'oubliez pas de vous laisser tenter ! 

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